grula: octobre 2007

30 octobre, 2007

Biarritz

Une journée de plage et de soleil, visite de ville 'station balnéaire prestigieuse' et beaucoup de promenade.

Avant d'arriver à Biarritz nous nous sommes arrêtés pendant quelques heures dans une plage tranquille:

plage au sud de Biarritz, le 20/9/2007
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Puis, la ville 'prestigieuse':

plage de la Côte-des-Basques à Biarritz le 20/9/2007
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La fin de l'été est la fin de la haute saison touristique, mais c'était le temps des compétitions de surf dans la côte sud-ouest française, donc, c'était la fête des jeunes de tout le monde qu'y se sont rendus. On se trouvait avec des camping-cars plus ou moins transformés à la main sur les parkings publics partout proches des plages. Et nous entendions plusieurs langues, y compris le portugais du Brésil.

surf sur la mer plate à Biarritz le 20/9/2007
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une ville des fêtes russes, Biarritz le 20/9/2007
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plage du Port-Vieux, Biarritz le 20/9/2007
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du port à la cathédrale de Biarritz, 20/9/2007
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plage Miramar de Biarritz le 20/9/2007
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vie de plages, hôtels et casinos des villes bourgeoises françaises, Biarritz le 20/9/2007
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bain de mer à Grande Plage de Biarritz le 20/9/2007
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phare à la Pointe St-Martin à Biarritz le 20/9/2007
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une des milliers des 'villes' bourgeoises à Biarritz, 20/9/2007
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la Grande Plage de Biarritz, le 20/9/2007

28 octobre, 2007

Ciboure

En continuant par les routes étroites, nous sommes arrivés au bord de la mer à Hendaye, la ville la plus occidentale de la France qui est à la frontière avec l'Espagne. Puis, en remontant la côte, nous nous sommes arretés à Ciboure pour dormir la première nuit au bord de la mer.
Ciboure est une ville sympatique à côté de St-Jean-de-Luz, sa voisine aristocratique et bourgeoise qu'on atteint en 15 minutes de marche.
Notre promenade à la fin de la journée nous a laissé des vues celles-ci:

St-Jean-de-Luz depuis le port de Ciboure le 19/9/2007
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plage de Ciboure le 19/9/2007
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nous à la pointe de St-Barbe à St-Jean-de-Luz le 19/9/2007
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Le lendemain nous nous sommes promenés pour connaître Ciboure:

église à Ciboure le 20/9/2007
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église basque, avec ses galeries aux lateraux, Ciboure le 20/9/2007
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tour de l'église à Ciboure le 20/9/2007
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St-Jean-de-Luz vue depuis Ciboure le 20/9/2007
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maison de Maurice Ravel à Ciboure le 20/9/2007
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mairie de Ciboure le 20/9/2007

26 octobre, 2007

Sare

Sare a été notre dernier arrêt avant d'arriver à la plage.

moi devant un terrain de fronton, le sport basque, Sare, le 19/9/2007
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maison et tour d'église à Sare le 19/9/2007
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Petra devant maison bourgeoise à Sare le 19/9/2007

25 octobre, 2007

Ainhoa

Notre prochain village a été Ainhoa, le plus beau de cette voyage:

maisons à Ainhoa le 19/9/2007
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une contre-lumière à Ainhoa le 19/9/2007
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l'église à Ainhoa le 19/9/2007
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la Mairie d'Ainhoa le 19/9/2007
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c'est possible de trouver une maison basque dans une autre couleur:

maison tourquoise, Ainhoa le 19/9/2007
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maison du parfum à Ainhoa le 19/9/2007
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on change la forme, on garde la couleur, Ainhoa le 19/9/2007
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bananiers à Ainhoa le 19/9/2007
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maison basque à Ainhoa le 19/9/2007
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moi à la fontaine, par Petra à Ainhoa le 19/9/2007

24 octobre, 2007

Espelette

Notre prochaine arrêt au Pays Basque était le village touristique Espelette. Les gens du lieu ont su importer le piment du Mexique et ont su construire le phénomène du 'Piment d'Espelette' avec son label AOC (appellation d'origine contrôlée).
Le village est beau, avec ses anciennes maisons dans les couleurs basques, le blanc et le rouge, ses petits magasins, ses ruelles sans voitures...
Nous y sommes arrivés à la fin du marché (touristique aussi) et nous avons profité pour le connaitre et pour acheter des produits régionaux. Voilà notre marchand de jambon du pays:

jambon basque à Espelette le 19/9/2007
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un café qui permet d'observer les gens qui se promènent à Espelette le 19/9/2007
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charcuterie au piment d'Espelette le 19/9/2007
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Petra à Espelette le 19/9/2007
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chocolat pour les touristes, pris en photo par Petra à Espelette le 19/9/2007
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les piments de Petra à Espelette le 19/9/2007
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magasin basque, Espelette le 19/9/2007
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Fiers de leur culture, les basques n'oublient pas leur langue, qu'ils apprennent à l'école et qui est utilisée partout:

panneaux basques à Espelette le 19/9/2007
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On achète le piment frais, mais surtout seché. Pendant le séchage, il devient un objet décoratif:

maison de producteur de piments à Espelette le 19/9/2007
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composition de Petra à Espelette le 19/9/2007

23 octobre, 2007

chambre d'hôtes et paysage Basque

Au long de nos promenades par la France, notre choix d'hébergement est souvent les chambres d'hôtes: ils sont plus agréables que les hôtels.
Les chambres d'hôtes sont des chambres à la maison du propriétaire, ou 'chambre chez l'habitant' comme on dit ici. C'est un phénomène français qui a, à mon avis, plusieures qualités:

renforce et revitalise le tourisme et l'économie locale dans tous le pays
donne du travail et de l'argent (vie!) pour les habitants des villages
fait (souvent) utiliser et maintenir des maisons qui seraient sinon à l'abandon
permet un important échange social et culturel entre les touristes (souvent des gens d'une grande ville ou de l'étranger) et les habitants locaux.

On dit que les chaines d'hôtels ne les aiment pas beaucoup, mais c'est une réussite de la petite économie contre les grands groupes.
Pour nous, rester dans des chambres d'hôtes est encore plus spécial: cela nous permet de connaître un peu de la culture française de l'intérieur du pays, de parler aux gens et de voir comme ils vivent.
La réception est presque toujours agréable, et parfois on nous reçoit même comme des amis à la maison. Rien à voir avec un hôtel.
Pour les connaitre mieux, allez voir les chambres d'hôtes des Gîtes-de-France. Les infos de ce site sont plutôt corrects, cependant ils disent qu'ils offrent des 'petits déjeuners copieux...' qui, en réalité est faux dans 95% des cas! En fait, ces petit déjeuners français rarement offrent plus qu'un morceau de pain (souvent de la veille), un peu de confiture (parfois aussi du beurre), un petit verre de jus (jamais du vrais jus, comme d'habitude dans le vieux monde) et une boisson chaude (du café, ou du lait, ou du thé).

Pendant un voyage comme celui-ci, des Pyrénées en baisse saison, nous changeons le village presque tous les jours. A la fin nous avons acquis une bonne expérience en chambres d'hôtes et le bilan est très positif!

Très proche de St Jean Pied de Port nous avons logé dans une chambre d'hôte chez le plus petit viticulteur du pays basque qui produit un vin AOC. Leurs accommodation et service ont été corrects, et nous avons pu visiter leur cave à vin, mais ceci n'était pas une 'vraie' chambre d'hôtes, mais 'un petit hôtel' ou 'une pousada' comme on dit au Brésil, avec quelques services d'un hôtel.
J'ai pris quelques photos depuis la terasse agréable de cette chambre d'hôtes et ses alentours:

vue du village St-Jean-le-Vieux, le 19/9/2007

St Jean Pied de Port

La ville de St Jean Pied de Port est historiquement très important. Le principal chemin de franchissement des Pyrénées Atlantiques au moyen-age passe par là. Plus tard à St Jean séjournait une grande base militaire française. Aujourd'hui St Jean reste une importante ville du Pays Basque français et reçoit beaucoup de touristes qui parcourent le chemin de Compostelle.
Pour savoir plus sur la ville, allez voir St Jean sur Wikipédia.

Petra joue la pèlerine en sortant par la porte St-Jacques en direction d'Espagne, St-Jean-Pied-de-Port, le 18/9/2007

maisons basques de la rue de la Citadelle à St-Jean-Pied-de-Port, le 18/9/2007
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le charme de la décoration fleurie se voit partout: